Je découvre autrement les objets du quotidien, comme la levure, la langue, le jus de citron... Je peux aussi reproduire des expériences simples à la maison.

Quelques vidéos ont été sélectionnées et évaluées pour moi : certaines sont très faciles à comprendre, d'autres un peu plus difficiles. Pour le savoir, je regarde les têtes colorées.

Les petites découvertes

  • Ballon et aiguille

Le ton est lent et posé. Le discours est simple. Les gestes du médiateur et les tracés au feutre sur le ballon aident à comprendre les explications. L'objectif est de percer un ballon sans qu’il éclate. Pour cela, il faut trouver l’endroit où la surface du ballon est la moins tendue. 

Ballon et aiguille
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Ballon et aiguille
[Jacques Petitpré, médiateur scientifique du Palais de la découverte].
Bonjour à tous, et bienvenue pour ce troisième épisode des petites découvertes, la nouvelle playlist youtube du Palais de la découverte, à retrouver chaque mardi, jeudi et vendredi à 17h. 
Alors, c'est pas parce qu'on est confiné qu'on ne va pas continuer à faire des bêtises !
[Audiosdescription : le médiateur approche une aiguille d’un ballon de fête gonflé à l'air ou à l'hélium].
Bien sûr si je continue à approcher le pique, le ballon va éclater. Mais pourquoi ? Comment un si petit trou peut-il déchiré complètement le ballon? C'est parce que le ballon est gonflé. Quand on gonfle un ballon, le caoutchouc va se tordre est tiré dans tous les sens.
[Audiodescription : le médiateur a dessiné sur le ballon 4 flèches qui prennent des directions opposées, c'est à dire dirigées à gauche, à droite, en haut, en bas, en partant d'un point central].
En fait comme on le voit sur ce schéma, chaque coin du ballon et tiré dans tous les sens par le caoutchouc qui l'entoure. 
[Audiodescription : le médiateur approche l'aiguille du point central]. 
Alors si maintenant je perce un trou ici, le caoutchouc autour du trou va tirer sur les bras du trou, l'agrandir et finir par déchirer le ballon. 
Ou pas ! Evidemment, plus le caoutchouc est tendu, et plus il va tirer fort. Il y à deux endroits où le caoutchouc est beaucoup moins tendu que sur le reste du ballon : l'endroit où on l'a gonflé et à l'opposé, le sommet du ballon. 
[Audiodescription : le médiateur approche l'aiguille du sommet du ballon].
Peut-être que si je perse ici, le caoutchouc autour ne tirera pas suffisamment fort pour agrandir le trou est déchirer le ballon. Peut-être qu'en perçant ici, peut-être disais-je quand perçant ici, on peut transpercer le ballon sans qu'ils n'éclate. En perçant ici, et là. 
Voici ! Je vous retrouve très bientôt pour de nouvelles bêtises instructives.
  • À fleur de peau

Le ton est lent et posé. Le discours est simple. L'expérience peut être reproduite à la maison. Cette médiation s'intéresse au corps et utilise le corps pour effectuer une démonstration. L'objectif est de comprendre l’acuité tactile, c'est à dire la capacité à percevoir deux stimulations distinctes sur le corps. Comment ? La médiatrice exerce deux pressions sur la peau, à deux endroits différents. Les champs récepteurs sont indiqués par des points bleus et rouges dessinés sur le corps.

A fleur de peau (l'acuité tactile)
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A fleur de peau (l'acuité tactile)
[Stéphanie Kappler, médiatrice des Sciences de la vie au Palais de la découverte].
Bonjour. Je suis Stéphanie Kappler, médiatrice scientifique au Palais de la découverte dans l'unité des sciences de la vie. Et aujourd'hui je vous propose une expérience simple sur le sens du toucher. Une expérience qui se réalise de préférence à 2, mais que vous pouvez aussi faire seul. Et le matériel dont vous aurez besoin est tout aussi simple que l'expérience, puisqu'il vous suffit d'avoir un trombone et avec ce trombone vous allez tester l'acuité tactile de différentes zones de votre corps.
Mais qu'est-ce que l'acuité tactile ?
C'est la capacité à percevoir 2 stimulations distinctes, 2 pressions exercées sur la peau par 2 pointes différentes. Vous allez déplier votre trombone pour former une sorte de U, et essayer d'écarter les pointes au départ de 3/4 mm. Ensuite il vous faut un cobaye. Le mieux c'est de prendre un être humain. Mais comme je n'en ai pas sous le coude, je vais prendre Georges. Ne montrez pas à votre cobaye ce que vous avez en main. Et demandez lui de fermer les yeux. Ensuite, appliquez délicatement les 2 pointes du trombone sur différentes parties de son corps. Commencez par exemple par les doigts, et demandez-lui combien de pointes il distingue. Continuez avec le bras, la joue, les lèvres, la langue, le ventre, le bas du dos, la cuisse, le mollet, et à chaque fois même question. Combien de pointes sens-tu ?
Ici en rouge est représentée la zone qui lorsqu'elle est touchée, va activer la terminaison nerveuse qui se trouve juste en dessous. On parle de champ récepteur. Et à côté en bleu, ça pourrait être le champ récepteurs de la terminaison nerveuse adjacente. Donc comme les champs récepteurs son petits, lorsqu'on approche 2 pointes peu écartées, on a de fortes chances d'activer 2 terminaisons nerveuses différentes. Il y a donc deux messages différents qui seront envoyés au cerveau. Et c'est pour ça qu'on perçoit bien les deux pointes.
Au niveau de l'avant-bras, il ya moins de terminaisons nerveuses, et les champs récepteurs sont beaucoup plus grands. Donc lorsque l'on applique les mêmes 2 pointe sur le bras, il y a de fortes chances que l'on active une seule terminaison nerveuse. Il n'y a donc qu'un seul message qui est envoyé vers le cerveau. C'est pour ça que l'on ne perçoit qu'une seule pointe. Pour percevoir les 2 pointes, il faut donc les écarter beaucoup plus.
Et bien voilà je vous laisse maintenant tester par vous même et vous souhaite une bonne découverte.
[©Palais de la Découverte, Universcience 2020].
  • La combustion

Cette médiation se divise en deux parties. Le ton est lent et posé. Le discours est simple. L'expérience peut être reproduite à la maison. La médiation est très pédagogique. Des mots clés et des dessins simples accompagnent les explications. L'objectif est de comprendre la combustion grâce à l'air, un combustible et de l'énergie. La combustion, c'est la transformation de la matière pour faire du feu. La première partie est simple à comprendre. En revanche, la deuxième partie, est plus difficile à comprendre : la médiatrice explique le processus chimique de cette transformation.

La combustion
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La combustion
[Sarah Christophe, médiatrice scientifique de l'unité de chimie du Palais de la découverte].
Bonjour à tous et bienvenue pour une nouvelle petite découverte. Je m'appelle Sarah Christophe et je suis médiatrice en chimie au Palais de la découverte. Et aujourd'hui je vous propose de parler de combustion.
Alors la combustion qu'est ce que c'est ? C'est la réaction chimique, autrement dit la transformation de la matière qui se produit lorsqu'on fait du feu. Et donc pour avoir de la combustion, il faut de la matière à transformer. Pour faire du feu, il faut tout d'abord un combustible, cette matière qui va brûler donc par exemple du bois, le papier, de l'essence, et même certains gaz comme le méthane. On a également besoin d'un comburant. Le comburant c'est par exemple du dioxygène, c'est le comburant le plus classique. On l'appelle parfois oxygène court qui se trouvent dans l'air autour de nous. Alors le combustible et le comburant ça ne suffit pas. Il faut aussi apporter de l'énergie pour déclencher la transformation de la matière. ça fait tout simplement une étincelle ou de la chaleur. C'est le cas quand on utilise des allumettes ou un briquet par exemple. Et quand toutes ces conditions sont réunies, on obtient de la combustion. Dans notre exemple de tout à l'heure le combustible c'est la cire de bougie, le comburant le dioxygène de l'air, et l'énergie provient du briquet. Et si on enlève une de ces trois conditions, et bien la combustion ne peut plus avoir lieu puisque la combustion est une transformation de la matière, on peut se demander en quoi se transforme le combustible et le comburant. Pour répondre à cette question il faut aller un petit peu plus loin dans ce qui constitue la matière. La matière est constituée de sortes de briques qu'on appelle des atomes. En fonction du type d'atomes et de la façon dont ils sont organisés, on obtient une matière plutôt qu'une autre. Quand on assiste à une transformation de la matière, ce sont simplement les atomes qui se réorganisent. Pour mieux comprendre cette réorganisation, je vous propose de vous intéresser à l'exemple de la combustion du méthane en présence de dioxygène. Lors de la combustion, les atomes qui constituent le méthane, c'est à dire du carbone ici en noir et de l'hydrogène ici en blanc, et les atomes qui constituent le dioxygène, c'est à dire de l'oxygène ici en rouge, se réorganisent pour former du dioxyde de carbone avec du carbone et de l'oxygène, et de l'eau avec de l'oxygène et de l'hydrogène. Comme le méthane, la cire de bougie contient du carbone et de l'hydrogène. Donc quand on fait brûler une bougie, on obtient également du dioxyde de carbone et de l'eau. Mais la cire de bougie a une composition un peu plus complexe que le méthane, est donc on obtient également d'autres matières à base de carbone, qu'on peut observer en plaçant simplement le fond d'un verre au contact de la flamme. On observe ces matières, c'est ce qui forme la suit. Voilà j'espère que vous en avez appris un peu plus sur la combustion. Je vous remercie et je vous dis à bientôt pour une nouvelle petite découverte.
[©Palais de la Découverte, Universcience 2020].
  • Qu'est-ce que la levure et à quoi sert-elle ?

Le médiateur propose des expériences simples, faciles à reproduire à la maison. Pour les reproduire, il faut plusieurs verres avec de la levure, de l'eau, de la farine et du sucre. Les expériences sont visuelles. L'objectif est de comprendre ce qu'est la levure et de savoir comment fabriquer du pain.

Qu’est-ce que la levure, à quoi sert-elle ?
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Qu’est-ce que la levure, à quoi sert-elle ?

[Yann Lefranc, médiateur scientifique de l'Unité des Sciences de la vie du Palais de la découverte].
Bienvenue dans ce nouveau numéro de la série des petites découvertes, la nouvelle playlist Youtube du Palais de la découverte à retrouver chaque mardi, jeudi et vendredi à 17h. Je suis Yann Lefranc, médiateur de l'unité sciences de la vie, et je vous propose de découvrir la levure. 
La levure de boulangerie sèche se présente sous la forme de petits grains.
[Commentaire : il verse le contenu d'un sachet de levure de boulangerie sur l'écran d'un smartphone].
Chaque grain est composé de millions de champignons microscopiques. Ce champignon est donc un microbe comme les bactéries, les virus et les parasites.
[Commentaire : nous voyons à la loupe, des grains de levure. Nous les voyons ensuite au microscope, en taille réelle de 10 micromètres].
Mais ce champignon là est très utile quand il est à son aise. Il se multiplie.
[Commentaire : vue au microscope du champignon qui se multiplie].
Mais à quoi sert-il ? Je vous propose de faire une expérience. Préparez quatre bouts de papier pour numéroter 4 verres.
[Commentaire : 4 feuilles sur une table. 1ère feuille : Farine + eau. 2e feuille : farine + levure. 3e feuille : eau + levure. 4e feuille : farine + eau + levure. Devant chaque feuille, se trouve un verre remplit des ingrédients écrits].
Versez 2 cuillerées rases de farine dans les verres numéros 1 2 et 4. Versez une pincée de levure dans les verres numéro 2 3 et 4 et versez une cuillerée d'eau tiède dans les verres numéro 1, 3 et 4. Mélangez avec une petite cuillère le contenu de chaque verre sans mélanger les cuillères. Couvrez-les avec un couvercle, une assiette ou un papier aluminium ou un film plastique ici. 
[Commentaire : les verres sont recouverts d'un film plastique transparent].
N'y touchez plus. Repassez voir régulièrement les quatre verres. Au bout de quelques heures dans lequel avez vous une transformation ? C'est dans le vert numéro 4. 
[Commentaire : la préparation n°4 (farine + eau + levure) gonfle].
Vous pouvez refaire l'expérience en variant la quantité d'eau d'un verre à l'autre, ou on ajoute du sucre, plus ou moins d'un verre à l'autre, ou du sel.
[Commentaire : d'autres préparations sont proposées. La n°1 : farine + levure + eau, la n°2 : farine + levure + eau + sucre (1 pincée), la n°3 : farine + levure + eau + sucre (2 pincées), la n°4 : farine + levure + eau + sucre (3 pincées)].
Comme nous, la levure a besoin de nourriture et d'eau. 
[Commentaire : vue au microscope, la levure se multiplie]. 
Ici elle se nourrit du sucre de la farine en présence d'eau. Elle produit du gaz carbonique qui fait lever la patte, qui fait lever la pâte à pain. Et oui vous pouvez ainsi faire du pain. 
Il vous faut de la farine, de l'eau, un sachet de levure, un peu de sucre, un peu de sel. 
[Commentaire : 500 grammes de farine de blé T55 ou T65 (2 bols), 4 grammes de sel (1 cuillère à café), 10 grammes se cure (1 cuillère à soupe), 1 sachet de levure, 360 grammes à 380 grammes d'eau (1 bol), 1 cuillerée de vinaigre de cidre].
Mélangez la farine, la levure le sel, le sucre, puis ajoutez l'eau est également une cuillerée de vinaigre de cidre. Mélangez une minute. Couvrez le tout Laissez la levure agir toute la nuit. 
[Commentaire : le mélange repose dans un récipient fermé].
La levure saccharomyces cerevisiae peut respirer comme nous mais aussi fermenter. C'est à dire que lorsqu'elle est privée d'oxygène, elle peut quand même se développer et produire de l'alcool et du gaz carbonique. C'est la fermentation alcoolique. 
[Commentaire : avec une vue accélérée, nous voyons le mélange gonfler et faire des bulles].
La levure produit des enzymes qui digèrent l'amidon de la farine en sucre. La levure consomme le sucre et produits de l'alcool et du gaz carbonique. C'est le gaz carbonique qui fait lever la pâte. C'est un boulanger parisien qui a été le premier en 1665 à mettre de la levure de bière dans la pâte à pain pour la faire lever plus vite. Cette levure était déjà utilisée depuis longtemps pour faire de la bière, du vin et des boissons fermentées. Mais c'est une autre histoire. 
[Commentaire : le médiateur scientifique met une cocotte au four].
Le matin, les parents prennent le relais, car il faut faire chauffer le four et une cocotte à 200 degrés pendant 15 minutes. Vous avez le temps de préparer la pâte en boule sur une table farinée et les mains couvertes de farine pour que la pâte ne s'y colle pas. 
[Commentaire : il pétrit la pâte. D'abord, il la plie quatre puis il la transforme en boule].
Transférez la boule d'un coup dans la cocotte sortie du four. Attention elle est brulante. Couvrez et enfournez pour 30 minutes toujours à 200 degrés puis retirez le couvercle et laissez cuire 15 minutes de plus. Vous trouverez des recettes pour faire du pain aux fruits secs, aux olives, de la brioche. Bon appétit !
[©Palais de la Découverte, Universcience 2020].
  • Quel goût sur le bout de la langue ? 

Les expériences peuvent être reproduites facilement à la maison. Les explications se font étapes par étapes, et sont très visuelles. L'objectif est de connaître les différentes zones du goût sur la langue. Les notions sont expliquées en testant son propre corps. Attention, la médiatrice réalise l'expérience avec la maquette d'une langue et un chat en peluche. Ne lui donnez surtout pas votre langue !

  • Message secret et jus de citron

Le rythme de la médiation est assez rapide. Mais l'expérience est visuelle et peut facilement être reproduite à la maison. Des post-it accompagnent les explications. L'objectif est de savoir écrire un message invisible avec du jus de citron, et de savoir rendre le message secret visible. Pour réaliser l'expérience, il faut du jus de citron, une feuille blanche et un coton-tige. 

  • Expériences granulaires

Le ton de la médiatrice est rapide, mais il est clair. Ses gestes accompagnent ses explications. Cette expérience peut être reproduite facilement à la maison ; il faut de la semoule, un verre doseur et trois dés. L'objectif consiste à connaître les comportements des petits et gros grains de semoule.

Ciel !

  • La grande Ourse

Le film est court, le débit est lent et posé. Le propos général est assez simple : « identifier les association concrètes que les hommes ont pu donner au fil du temps à une forme abstraite observée dans le ciel ». Les deux points de vue font appels à un référentiel connu de forme, casserole/ours, faucille… Les propos sur la géographie et la culture ne sont pas imagés et sont expliqués rapidement à l’oral.

  • La Lune et les 3 planètes

Le film est court, le débit est lent et posé. La première séquence propose une observation de trois planètes, à partir de la localisation de la lune, avec une imagerie très proche de la réalité. Une image, qui va en s’agrandissant, permet de visualiser Mars, puis Jupiter et Saturne, avec des indications orales de distances. Viennent ensuite des comparaisons de tailles très parlantes visuellement avec la terre (et des indications orales sur composition des planètes). Le film se termine par des indications datées sur la modification d’emplacement des 3 planètes (à revoir plusieurs fois).

Actu de science

  • Le plein en orbite

Le film est court, le débit est lent et posé. La séquence d’introduction propose un référentiel connu et visuel, la panne d’essence et la casse automobile. Les explications sur la panne d’un satellite et l’assistance d’un second satellite pour le ravitailler en carburant sont visuelles et très claires. Les prochaines (hypothétiques) missions vers d’autres satellites sont évoquées oralement mais claires.

  • Un dinosaure miniature figé dans l'ambre

Le ton général est lent et posé. Le propos est simple. Un nouvel animal préhistorique est retrouvé. Il s'est conservé et préservé dans un matériaux : l’ambre. Le film est très imagé, il y a des prises de vue réelles, des image en 3D et des reconstitutions de scènes.

  • Homo erectus, un ancêtre pas si lointain

Homo erectus, cette espèce du genre homo, capable de marcher en position verticale, semble avoir vécu beaucoup plus longtemps que ce que l’on pensait. Nous voyons, dans ce film, des scènes de fouilles sur le terrain, des cartes et des reconstitutions de visages.

En vacances dans le système solaire

  • Tour d'horizon

Ce film fait partie d'une série de 5 films d’animation qui sont très visuels et attractifs. Ces films sont courts, ils durent en moyenne 3 minutes. Le ton des personnages, vacanciers du système solaire, est enjoué et précis dans les descriptions. Les animatiques aident bien à se représenter ces notions de l’infiniment grand. Ce premier film permet de bien se représenter notre système solaire et aborde la notion d’orbite, l’ordre des planètes, leurs compositions, et les distances par analogie avec la durée d’un appel téléphonique.

Croisière au soleil

Certaines notions sont abordées sous forme d’animatique attractive : la taille du soleil, sa constitution, son fonctionnement, son rôle pour la vie sur terre, les taches solaires, les tempêtes et les pôles. En prime, de nombreuses photos des missions des satellites d’observation sont montrées.

  • Cure de Lune

Ce film d'animation explique les phénomènes de rotation entre le soleil et la terre et le résultat visible sur sa forme. Les sujets abordés sont, sa constitution, ses mers, sa gravité, sa formation, son influence sur la terre (les marées), et les autres lunes du systèmes solaires (Jupiter et Saturne en ont plus de 80).

  • Safari sur Mars

Ce film d'animation aborde les possibilités de vie sur Mars, la présence d’eau, la température ambiante, son atmosphère, le rythme des jours et des nuits.

  • Rallye sur les rocheuses

Ce film d'animation attractif explique la constitution des planètes rocheuses, leurs atmosphères et leurs températures.