Ouvert du mardi au samedi de 9h30 à 18het jusqu'à 19h le dimanche.
Grotte Chauvet, l'aventure scientifique
La grotte Chauvet, dans la peau des scientifiques. Livre jeunesse
Ambiance d'un milieu riche en oxygène (ou en air) qui permet une dégradation de la matière organique dégageant du gaz carbonique et de l'eau, le résultat de cette dégradation est la production de compost.
actu-environnement.com
Indice du pouvoir de réflexion d'une surface exposée à la lumière L'albédo est la mesure de la capacité d'une surface à réfléchir la lumière, notamment celle du Soleil (albédo d'une planète , de la neige, ...). On l'exprime soit par un pourcentage (portion de lumière réfléchie par rapport à la quantité reçue), soit par un chiffre entre 0 et 1 : un corps qui réfléchit la totalité de la lumière solaire a un albédo de 1, un corps qui l'absorbe à 100% a un albédo de 0.
Plus un corps a une capacité importante de réflexion, plus son albédo est élevé (= proche de 1). L'albédo de la Lune qui réfléchit très peu la lumière du soleil est faible : 0, 07. A l'inverse, la planète la plus brillante du système solaire , Vénus, a un albédo de 0,64. La Terre, elle, a un albédo de 0,3 : elle réfléchit 30% de l'énergie solaire incidente reçue. L' albédo de la Terre est l'un des éléments qui déterminent sa température de surface et son climat. Cet albédo est lui-même fonction de l'albédo des différents éléments qui composent sa surface et son atmosphère (nuages, déserts, glaciers, océans, forêts, ...). A titre indicatif, une forêt ou un océan réfléchissent 5 à 15% de la lumière reçue, un désert de sable 30%, un glacier 50% et la neige fraîche jusqu'à 98%.
en Pédologie & géochimie : phénomène d’augmentation de la teneur en sodium échangeable d’un sol pouvant provoquer une forte élévation du pH et une dégradation de la structure du sol (PASQUIER); c.f. : salinisation.
mcarpenter.chez-alice.fr
Graminée textile vivace couvrant d'immenses étendues en Afrique du Nord et en Espagne, croissant en touffes de 1 m de hauteur. (Les feuilles servent à la fabrication de cordes, de papier ou sont rouies pour le tissage.)
larousse.fr
"L'aridité est un phénomène climatique impliquant une pluviométrie faible. Dans les régions dites arides, les précipitations sont inférieures à l'évapotranspiration potentielle (notée ETP) données de 2009.
L'aridité étant une notion spatiale, une région peut être qualifiée d'aride et non une période. Elle est d'ailleurs marquée sur près de 30 %des terres continentales bien que répartie sur diverses latitudes".
Wikipedia
1- Action de fortes pluies sur la surface du sol, et par extension évolution de la structure de surface des sols par la désagrégation des mottes et la formation de structures appelées croûtes de battance : on distingue les croûtes structurales qui sont le produit d'une réorganisation de la structure superficielle et d'une fermeture de la porosité de surface ; et les croûtes sédimentaires, qui résultent de dépôts lités successifs de sédiments dans les flaques apparues suite à un excès d'eau.
2- Dégradation de la structure du sol en surface sous l'influence des précipitations. Le résultat est une usure des mottes et la formations d'une "croûte de battance" difficile à traverser par l'eau, l'air ou les jeunes plantules qui viennent de germer. Un sol est d'autant plus sensible à la battance que sa teneur en limons est plus importante. Pour les sols du nord de la France, il est possible de calculer un indice de battance Ib = (1,5 x limon fin + 0,75 x Limon grossier)/(argile + 10 x matière organique). Les valeurs de cet indice sont défavorables lorsqu'elles dépassent 1,8.
aquaportail.com
Dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches par suite de divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines. Définition, donnée par la Conférence des Nations Unies sur l'Environnement et le Développement (Cnued), à Rio de Janeiro en 1992.
En agriculture, sylviculture et parfois dans le domaine de l'urbanisme, le drainage est l'opération qui consiste à favoriser artificiellement l'évacuation de l'eau gravitaire présente dans la macro-porosité du sol à la suite de précipitation.
Les eaux souterraines proviennent de l’infiltration des eaux de pluie dans le sol. Celles-ci s’insinuent par gravité dans les pores, les microfissures et les fissures des roches, humidifiant des couches de plus en plus profondes, jusqu’à rencontrer une couche imperméable. Là, elles s’accumulent, remplissant le moindre vide, saturant d’humidité le sous-sol, formant ainsi un réservoir d’eau souterraine appelé aquifère.
Ensemble interactif d’une communauté d’organismes vivants et de l’environnement physique et chimique dans lequel ils évoluent.
Phénomène par lequel les êtres vivants (végétaux surtout) perdent de l'eau sous forme de vapeur. C'est donc une perte d'eau due à deux phénomènes: l'évaporation de l'eau du sol et des plantes et la transpiration des plantes. Ce phénomène et à l'origine de la montée de la sève dans les vaisseaux. Voir évapotranspiration potentielle et évapotranspiration réelle.
aquaportail
en Pédologie & conservation des sols : altération, sous l’action des fortes pluies, de la structure de surface du sol; celle-ci se présente comme une pellicule continue, luisante, à texture fine (PASQUIER); c.f. : battance.
Couche supérieure du sol créée et entretenue par la décomposition de la matière organique, essentiellement par l'action combinée des animaux, des bactéries et des champignons du sol. L’humus est une matière souple et aérée, qui absorbe et retient bien l'eau, de pH variable selon que la matière organique est liée ou non à des minéraux, d'aspect foncé (brunâtre à noir), à odeur caractéristique, variant selon qu'il s'agit d'un humus forestier, de prairie, ou de sol cultivé.
Transformation de la partie superficielle d'une roche.
Le pH (abréviation de Potentiel Hydrogène) est une valeur sans unité qui traduit l’acidité ou la basicité d’une solution ou d’un produit. Le pH est définit par une formule qui calcule la concentration des ions hydrogènes et dont le résultat varie de 0 à 14. • Le pH dit neutre est égal à 7 et correspond au potentiel hydrogène de l’eau pure à 25°C à pression atmosphérique. • Les solutions dont le pH est inférieur à 7 sont dites acides. • Les solutions dont le pH est supérieur à 7 sont dites basiques.
dmoz.fr/sciences
Processus chimique par lequel les végétaux, en utilisant l'énergie du soleil, transforment l'eau et le gaz carbonique en composés organiques La photosynthèse est le processus par lequel les végétaux (plantes, algues) et certaines bactéries , sous l'effet de l'énergie lumineuse du soleil , transforment l' eau du sol et le gaz carbonique (CO2 ) en molécules biologiques. La plante "casse"(oxyde) les molécules d'eau (H2O) et fixe le carbone des molécules de CO2. Elle rejette l'oxygène et produit des sucres, indispensables à sa croissance.
La photosynthèse se déroule dans les chloroplastes, organites particuliers aux cellules végétales où se trouve la chlorophylle, molécule-clé de la photosynthèse. Particulièrement sensible aux rayons de lumière visible du soleil (lumière bleue et rouge), ce pigment capte l'énergie lumineuse et la transforme en énergie chimique. Après fixation du carbone du CO2 atmosphérique , cette énergie est utilisée pour la synthèse de molécules organiques (sucres, acides aminés , lipides). La photosynthèse nécessite également l'oxydation de l'eau, à l'origine de l'oxygène atmosphérique et des électrons et protons nécessaires au bon déroulement du processus. La photosynthèse est l'un des mécanismes à l'œuvre dans le cycle du carbone. Elle est essentielle à la vie sur Terre.
en Pédologie : ensemble des vides du sol occupés par l’eau et l’air dans une unité de volume de sol en place et égale à la somme de la macroporosité et de la microporosité (PASQUIER); porosité totale (PASQUIER); volume de vide (CARPENTER).
mcarpenter.chez-alice.com
Voir osmose. Pression, force déterminée par une différence de concentration entre deux solutions situées de part et d'autre d'une membrane semi\-perméable. Les forces osmotiques favorisent la diffusion des substances à travers la membrane, le solvant passant de la solution la moins concentrée vers la solution la plus concentrée. Voir aussi : milieu interne.
Reformulé différemment : la pression osmotique est la force qui s'exerce sur une membrane hémiperméable (perméable à l'eau seulement) séparant deux solutions de concentrations différentes. Elle fait passer l'eau de la solution la moins concentrée (hypotonique) vers la solution la plus concentrée (hypertonique) jusqu'à ce que l'équilibre soit atteint (isotonie).
D'une façon générale, c'est la capacité d'un système à revenir à un état antérieur. Dans un cadre géologique, il s'agit de la faculté qu'a un substrat de revenir à son équilibre après avoir subit des perturbations; mais c'est aussi la résistance qu'un substrat (ou sol) oppose à l'évolution de ses caractéristiques à la suite d'une perturbation extérieure, qu'elle soit physique, chimique ou biologique.
Dans le cadre biologique, la résilience représente l'aptitude des communautés microbiennes à retourner, après une perturbation, à une situation stable différente ou non de celle observée initialement.
Capacité d'un système (qu'il s'agisse de personnes ou d'écosystèmes) à se relever rapidement d'un choc. Réfère à l'aptitude d'un système écologique ou d'un système de subsistance à se rétablir après des tensions et des chocs.
Le ruissellement désigne en hydrologie le phénomène d'écoulement des eaux à la surface des sols. Il s'oppose au phénomène d’infiltration. Le ruissellement est un des moteurs de l’érosion : l'eau qui s'écoule entraîne avec elle des particules plus ou moins grosses en fonction de la quantité d'eau en mouvement et de la pente, ce qui peut avoir un effet abrasif sur le terrain soumis au ruissellement.
mpl.ird.fr
La salinisation est l'accumulation des sels dans les sols. Elle a pour principales conséquences une augmentation de la pression osmotique, une toxicité pour les végétaux due à l'accumulation de certains ions, dont Na+, et une dégradation du sol.
Wikipédia
La sécheresse ou sècheresse est l'état normal ou passager du sol et/ou d'un environnement, correspondant à un manque d'eau, sur une période significativement longue pour qu'elle ait des impacts sur la flore naturelle ou cultivée, la faune sauvage ou les animaux d'élevage.
Ce « déficit hydrique » est épisodiquement naturel (par exemples, périodes glaciaires/interglaciaires, cycles El Niño / El Niña, etc. et peut être amplifié par l'émission humaine de gaz à effet de serre). Il fait suite à un déficit pluviométrique inexpliqué, sur de longues périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air. Il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols (l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause une désertification anthropomorphique accélérée), une augmentation de l'évapotranspiration induite par des plantations consommatrices d'eau (peupliers, maïs).
wikipédia
en Pédologie : sol dont le pH est inférieur à 5,5 - 6,0 (PASQUIER).
en Pédologie : sol dont le pH est supérieur à 8,0 - 8,5 (PASQUIER).
Le surpâturage peut se définir comme une pratique qui consiste à faire paître trop de bétail durant une trop longue période sur des terres incapables de reconstituer leur végétation, ou bien, à faire paître des ruminants sur des terres qui ne sont pas adaptées au pâturage à cause de certains paramètres physiques, tels que la pente. Le surpâturage dépasse la capacité de charge du pâturage.
Plantes (dites xérophiles) qui vivent dans des habitats classés comme secs, soit par le substrat (sol), soit par l'atmosphère, soit par l'ensemble des deux.
Technique de conservation des sols et de l’eau en vue de reconstituer, de maintenir ou d’améliorer la fertilité du sol. Cette pratique consiste à préparer la terre très tôt dans la saison sèche, à creuser des trous pour y concentrer les eaux de ruissellement et les matières organiques.