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Puzzle des futurs

Dans la troisième partie de l’exposition, “ Le puzzle des futurs ”, le visiteur explore des solutions pour préserver l’eau et la partager. Le visiteur se met à la place de cet agriculteur virtuel, contraint de limiter sa consommation, pour étudier les différentes solutions techniques et leur adéquation aux spécificités locales.

 

Le visiteur responsable du service des eaux

Cette fois, le visiteur s’improvise responsable du service des eaux d’une cité, confronté à des fuites sur son réseau souterrain d’adduction en eau potable. Quels investissements réaliser ou non ? Pour chacun des éléments, une “ gouttière ” supporte un livret d’informations complémentaires. Le visiteur saura tout sur les conséquences des fuites sur un réseau urbain, les techniques pour les détecter, les nouveaux matériaux pour les réparer...

Pour économiser l’eau, le recyclage des eaux de pluie, de drainage des zones irriguées ou des eaux domestiques, peut constituer un apport non négligeable.

Préserver l’eau, c’est enfin développer des techniques et trouver des financements pour dépolluer. Les régions d’agriculture intensive sont les plus concernées. La dépollution par des plantes, ou phyto-remédiation, a fait ses preuves. Le visiteur en cerne les caractéristiques à travers quatre végétaux.
Dans le livret , il s’initie au principe pollueur payeur et autres tendances préventives.


Le visiteur invité à prendre parti

Au centre du puzzle des futurs, la table “ Les voix pour l’eau ” réunit plusieurs visiteurs pour une réflexion collective sur les problématiques suivantes.

  • A qui confier la gestion de l’eau ?
  • Quels droits pour les écosystèmes ?
  • Comment établir une coopération équitable entre riches et pauvres en eau ?
Sur chaque question, les participants sont invités à voter pour l’une des solutions défendues par trois experts (scientifique, économique, politique…). Ils comprennent que quelle que soit l’option et ses avantages, elle présente souvent aussi des inconvénients. Chaque proposition est forcément incomplète puisqu’elle ne représente qu’une compétence : administrative, politique ou économique par exemple. D’où la nécessité de confronter les points de vue et d’arbitrer au mieux localement et mondialement.
 

 

 

 

"L'eau est l'organe du monde"
Gaston Bachelard

 
© Le Générique de l’exposition