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La
Cogema a proposé d’utiliser
la reconnaissance des empreintes digitales
pour contrôler l’accès à l’usine
nucléaire de La Hague.
Cette technique implique la création d’un fichier
centralisé contenant des données personnelles
ce qui représente un risque pour les libertés
individuelles.
La Cnil a donné son accord parce que
la sécurité d’une usine nucléaire
est fondamentale.
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Le
collège
Jean Rostand de Nice a formulé la
même demande pour contrôler l’accès
des élèves à sa cantine.
La Cnil a
refusé car l’enjeu n’est
pas proportionné à la technique.
Il y a un risque que les empreintes stockées,
qu’on peut relever sur n’importe
quelle surface, soient utilisées pour
identifier quelqu’un dans un autre cadre
que la gestion du restaurant
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La
mairie de Mérignac a souhaité expérimenter
un système de vote électronique
qui identifie des électeurs, notamment
par la reconnaissance de leurs empreintes
digitales.
La Cnil a accepté parce qu’il
s’agit d’une expérimentation
volontaire et que les empreintes ne sont pas
enregistrées dans une base de données
mais sur une carte à puce personnelle,
ce qui permet à chaque électeur
d’en contrôler l’usage.
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